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Thèse en bioinformatique, génomique fonctionnelle (H/F)

Cette offre est disponible dans les langues suivantes :
- Français-- Anglais

Date Limite Candidature : mardi 14 octobre 2025 23:59:00 heure de Paris

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Informations générales

Intitulé de l'offre : Thèse en bioinformatique, génomique fonctionnelle (H/F)
Référence : UMR7592-SANCAB-001
Nombre de Postes : 1
Lieu de travail : PARIS 13
Date de publication : mardi 23 septembre 2025
Type de contrat : CDD Doctorant
Durée du contrat : 36 mois
Date de début de la thèse : 3 novembre 2025
Quotité de travail : Complet
Rémunération : La rémunération est d'un minimum de 2200,00 € mensuel
Section(s) CN : 22 - Biologie cellulaire, développement, évolution-développement, reproduction

Description du sujet de thèse

Multiomique fonctionnelle du follicule ovarien
Au sein de l’ovaire, l’unité fonctionnelle est le follicule, constitué de cellules somatiques (la granulosa) et de cellules germinales (ovocytes). Les follicules jouent un rôle central dans le processus de reproduction en assurant la maturation des ovocytes avant fécondation, mais également dans la santé de l’organisme entier par la production d’hormones (œstrogènes et progestérone) qui régulent un très grand nombre de processus physiologiques.
La thèse proposée porte sur un large projet de génomique fonctionnelle intégrative, permettant de mieux identifier et caractériser les processus impliqués dans la folliculogenèse ovarienne normale et pathologique.

Le/la candidat(e) devra avoir déjà une première expérience en codage bash et R et/ou python et dans l’utilisation d’outils d’analyses bioinformatiques. En particulier, le/la candidat(e) devra avoir déjà réalisé des analyses bioinformatiques poussées, par exemple en transcriptomique. De même, une expérience d’outils de type workflow, de l’utilisation de serveurs de calculs ou d’analyses de données sur cellules uniques sera un élément pris en compte dans l'examen de la candidature. Un bagage en modélisation mathémathique serait également très appréciable.
Enfin, le/la candidat(e) doit pouvoir démontrer un intérêt réel pour le domaine de la reproduction, en particulier pour son volet féminin.
Ce projet s'inscrivant dans un contexte collaboratif, le/la candidat(e) doit pouvoir s'exprimer clairement et présenter des travaux aussi bien en français qu'en anglais.

Contexte de travail

La personne recrutée mènera une thèse de doctorat sous la direction conjointe de Sandrine Caburet et de Reiner Veitia, au sein de l’équipe Molecular Oncology and Ovarian Pathologies, dirigée par Reiner Veitia à l’Institut Jacques Monod.

Le poste se situe dans un secteur relevant de la protection du potentiel scientifique et technique (PPST), et nécessite donc, conformément à la réglementation, que votre arrivée soit autorisée par l'autorité compétente du MESR.