En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez le dépôt de cookies dans votre navigateur. (En savoir plus)

Contrat doctoral (H/F) - Analyse numérique et asymptotique de l'interaction de structures photoniques et quantiques via un champ electromagnétique

Cette offre est disponible dans les langues suivantes :
- Français-- Anglais

Date Limite Candidature : mardi 22 août 2023

Assurez-vous que votre profil candidat soit correctement renseigné avant de postuler. Les informations de votre profil complètent celles associées à chaque candidature. Afin d’augmenter votre visibilité sur notre Portail Emploi et ainsi permettre aux recruteurs de consulter votre profil candidat, vous avez la possibilité de déposer votre CV dans notre CVThèque en un clic !

Informations générales

Intitulé de l'offre : Contrat doctoral (H/F) - Analyse numérique et asymptotique de l'interaction de structures photoniques et quantiques via un champ electromagnétique
Référence : UMR5224-BRIBID-001
Nombre de Postes : 1
Lieu de travail : GRENOBLE
Date de publication : mercredi 24 mai 2023
Type de contrat : CDD Doctorant/Contrat doctoral
Durée du contrat : 36 mois
Date de début de la thèse : 1 octobre 2023
Quotité de travail : Temps complet
Rémunération : 2 135,00 € brut mensuel
Section(s) CN : Mathématiques et interactions des mathématiques

Description du sujet de thèse

Analyse Numérique et Asymptotique de l'Interaction de Structures photoniques et quantiques via un champ électromagnétique

Cette thèse aura lieu au Laboratoire Jean Kuntzmann dans l'équipe Equations aux Dérivées Partielles. Elle se situe dans le cadre d'un projet 80|Prime du CNRS qui structure une collaboration avec des physiciens du laboratoire Charles Coulomb à Montpellier. Elle s'adresse à un étudiant ou une étudiante en mathématiques appliquées avec une appétence pour les collaborations pluridisciplinaires.

On considère la propagation d'une onde électromagnétique à travers une structure photonique dans laquelle sont inclus des systèmes quantiques. Ce cadre est beaucoup moins classique que ceux de l'interaction laser-matière d'une part avec des systèmes quantiques et d'autre part avec des structures photoniques [2]. On s'attend notamment à une modification des propriétés de la structure photonique du fait de la présence des inclusions quantiques.

Le but est d'étudier d'un point de vue théorique et numérique l'interaction laser-matière pour ces systèmes et de déterminer les modèles permettant de rendre compte des phénomènes collectifs apparaissant dans de telles structures composites, tout en étant efficace d'un point de vue numérique.

Références :
[1] Gleb P. Fedorov et al, Photon transport in a Bose-Hubbard chain of superconducting artificial atoms, Phys. Rev. Lett. 126(18), 180503 :1–6, 2021.
[2] Brigitte Bidégaray-Fesquet, Hiérarchie de modèles en optique quantique. De Maxwell–Bloch à Schrödinger non-linéaire, Springer, 2006.

Mots-clés : Interaction laser-matière, modèle quantique, structure photonique, simulation numérique, développements asymptotiques.

Contexte de travail

Thèse dans le cadre du projet CNRS 80|Prime 2023 "Anaïs".
Le Laboratoire Jean Kuntzmann, unité mixte de recherche CNRS - Université Grenoble Alpes - Grenoble INP, est un laboratoire grenoblois en mathématiques appliquées et informatique d'environ 250 personnes. L'équipe Equations aux Dérivées Partielles regroupe une douzaine de permanents et autant de doctorants avec des interactions fortes avec des laboratoires d'autres disciplines.