Informations générales
Intitulé de l'offre : Chercheur postdoctoral en électronique de spectroscopie stabilisée (H/F)
Référence : UMR8523-BRIHAY-002
Nombre de Postes : 1
Lieu de travail : VILLENEUVE D ASCQ
Date de publication : mardi 21 octobre 2025
Type de contrat : Chercheur en contrat CDD
Durée du contrat : 3 mois
Date d'embauche prévue : 1 décembre 2025
Quotité de travail : Complet
Rémunération : 4 613,14 € et 4 697,80 €
Niveau d'études souhaité : Doctorat
Expérience souhaitée : Plus de 10 années
Section(s) CN : 04 - Physique des atomes, molécules et plasmas. Optique et lasers
Missions
L’objectif du/de la chercheur(se) postdoctoral(e) sera de développer l’électronique et de construire de nouveaux spectromètres à ondes millimétriques haute résolution pour les espèces en phase gazeuse, notamment des sources de fréquence stabilisées à très faible bruit de phase spécialement conçues pour la spectroscopie à ondes millimétriques
Activités
- Développer et intégrer des sources de fréquence micro-ondes stables et l’électronique associée
- Les intégrer à un spectromètre d’émission à transformée de Fourier
- Programmer les différents composants pour qu’ils fonctionnent ensemble
- Communication des résultats par le biais de posters, de présentations et d’articles
Compétences
Nous recherchons un doctorant expérimenté (plus de 10 ans) en physique, chimie ou domaine connexe, possédant une vaste expérience du développement et de la production de composants électroniques pour la spectroscopie à ondes millimétriques. Des compétences en gestion de projet, une gestion autonome de projets électroniques et une solide expérience en spectroscopie à ondes millimétriques sont requises. La maîtrise de l’anglais est indispensable.
Contexte de travail
De nouvelles formes de spectroscopie doivent être utilisées pour rechercher des phénomènes physiques et des espèces astrochimiques intéressants. Une électronique stable et des sources spectroscopiques sont nécessaires pour progresser dans cette direction, avec des spectromètres sur mesure.
Les recherches seront menées au Laboratoire de Physique des Lasers, Atomes et Molécules (PhLAM), au sein de l’équipe Physique Moléculaire aux Interfaces (MPI). Il s’agit d’une équipe internationale dont les recherches ont des applications en sciences de l’environnement, en astrophysique de laboratoire, en biologie, en médecine, en plasmas et en matériaux (https://phlam.univ-lille.fr/en/recherche/pmi). Ces travaux seront réalisés à l’Université de Lille. Lille est située dans le nord de la France, près de la frontière belge, et est desservie par des lignes ferroviaires directes vers trois capitales européennes (Bruxelles, Londres, Paris).
Contraintes et risques
lasers, haute tension