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Doctorant (H/F) - Mécanisme moléculaire de la régulation de l’AMPK par le signal « glucose » chez la levure S. cerevisiae

Cette offre est disponible dans les langues suivantes :
- Français-- Anglais

Date Limite Candidature : mardi 17 septembre 2024 23:59:00 heure de Paris

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Informations générales

Intitulé de l'offre : Doctorant (H/F) - Mécanisme moléculaire de la régulation de l’AMPK par le signal « glucose » chez la levure S. cerevisiae
Référence : UMR7592-SEBLEO-002
Nombre de Postes : 1
Lieu de travail : PARIS 13
Date de publication : mardi 27 août 2024
Type de contrat : CDD Doctorant/Contrat doctoral
Durée du contrat : 36 mois
Date de début de la thèse : 15 octobre 2024
Quotité de travail : Temps complet
Rémunération : La rémunération est d'un minimum de 2135,00 € mensuel
Section(s) CN : Biologie cellulaire, développement, évolution-développement, reproduction

Description du sujet de thèse

Projet de thèse: Mécanisme de la régulation de la signalisation AMPK par le glucose et le métabolisme.

Notre objectif à long terme est d'identifier les mécanismes moléculaires en charge de la régulation de l'AMPK par la disponibilité du glucose en utilisant la levure Saccharomyces cerevisiae comme système modèle. Dans le passé, nous avons utilisé l'inhibiteur métabolique 2-deoxyglucose pour sonder les mécanismes de détection du glucose et documenter les voies de résistance à ce médicament (Defenouillère et al., Science Signaling 2019 ; Laussel et al., PLOS Genetics 2022).

Ce projet de thèse, financé par une bourse de l'ANR, fait suite à la réalisation d'un crible génétique réussi dans le laboratoire qui a mis en évidence de nouveaux mécanismes de régulation de l'AMPK. Il se concentrera sur l'identification des mécanismes d'inhibition de l'AMPK par le glucose, en mettant l'accent sur la régulation par la protéine phosphatase 1.

À cette fin, le/la doctorant/e utilisera des approches multidisciplinaires, notamment la biologie moléculaire, les essais génétiques, l'imagerie des cellules vivantes, les essais innovants d'interaction protéine-protéine, les essais in vitro et la protéomique quantitative.

Les candidats doivent avoir récemment obtenu un Master 2 en sciences biologiques.
Le/la candidate retenue devra s'intéresser à la régulation des voies de signalisation et à leurs mécanismes moléculaires sous-jacents, être très motivé/e, rigoureux/se et désireux/se de travailler en équipe, avec une expérience des technique de laboratoire de base tels que la biologie moléculaire (clonage, mutagenèse), les tests biochimiques (western blotting, co-immunoprécipitations) et l'imagerie. La connaissance de la biologie et des techniques de la levure sera un avantage mais n'est pas requise. La langue de travail du laboratoire est l'anglais.

Contexte de travail

Le/la doctorante sera inscrit/inscrite à l'école doctorale « BioSPC » de l'Université Paris-Cité et effectuera ses recherches à l'Institut Jacques Monod, l'un des plus grands centres de recherche en biologie fondamentale au centre de Paris. L'Institut Jacques Monod (wwww.ijm.fr) est un environnement dynamique et multidisciplinaire regroupant une trentaine d'équipes travaillant dans des domaines allant de la biophysique à la biologie cellulaire et à la génomique, offrant un environnement académique stimulant. Au total, il rassemble environ 250 chercheurs, professeurs, ingénieurs, techniciens, post-docs et doctorants de tous horizons.
La recherche s'effectuera au sein de l'équipe "Trafic membranaire, ubiquitine et signalisation" dirigée par Sébastien LEON (https://shorturl.at/YIXVV).