En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez le dépôt de cookies dans votre navigateur. (En savoir plus)

these "Modélisation des électrons et des trous confinés dans des boîtes quantiques colloïdales : vers un couplage fort lumière-matière en régime de multi-excitation" (H/F)

Cette offre est disponible dans les langues suivantes :
- Français-- Anglais

Date Limite Candidature : mardi 1 octobre 2024 23:59:00 heure de Paris

Assurez-vous que votre profil candidat soit correctement renseigné avant de postuler

Informations générales

Intitulé de l'offre : these "Modélisation des électrons et des trous confinés dans des boîtes quantiques colloïdales : vers un couplage fort lumière-matière en régime de multi-excitation" (H/F)
Référence : UMR7588-AGNMAI-006
Nombre de Postes : 1
Lieu de travail : PARIS 05
Date de publication : mardi 10 septembre 2024
Type de contrat : CDD Doctorant/Contrat doctoral
Durée du contrat : 36 mois
Date de début de la thèse : 1 novembre 2024
Quotité de travail : Temps complet
Rémunération : La rémunération est d'un minimum de 2135,00 € mensuel
Section(s) CN : Matière condensée : structures et propriétés électroniques

Description du sujet de thèse

Les boîtes quantiques semi-conductrices représentent le confinement ultime des porteurs de charge dans l’espace. Dans ces structures, l'énergie des électrons et des trous confinés est séparée par un écart énergétique ou « gap » important, généralement dans le domaine spectrale du visible ou du proche infrarouge, ce qui présente un intérêt pour des applications en optoélectroniques. L'objectif de cette thèse théorique est l'étude des propriétés électroniques et optiques fondamentales des boîtes quantiques colloïdales, et l'exploration de deux régimes qui pourraient présenter des propriétés nouvelles et intrigantes : le régime de couplage fort lumière-matière (dans une cavité optique) et le régime des excitons multiples, atteint lorsque la boîte quantique est excitée par une source de lumière intense.

Contexte de travail

La thèse est une collaboration entre deux laboratoires :
- Le laboratoire de physique de l’ENS (LPENS), où sont basés Robson Ferreira et Francesca Carosella, experts de la modélisation des propriétés électroniques et optiques des nanostructures semi-conductrices
- L’institut des nanosciences de Paris (INSP), où est basé Simon Huppert, également spécialiste de modélisation des nanostructures semi-conductrices et co-encadrant de la thèse, ainsi que l’équipe d’Agnès Maître, qui étudie expérimentalement les propriétés optiques des boîtes quantiques colloïdales.
Le doctorant devra donc faire le lien entre les deux laboratoires, par ailleurs, bien que son travail soit essentiellement théorique, il devra également assurer une bonne communication entre les partenaires théoriciens et expérimentateurs de la collaboration.

Contraintes et risques

S’agissant d’un travail théorique et numérique, le doctorat ne comporte pas de contraintes ni de risques particuliers.