Informations générales
Intitulé de l'offre : Doctorat en Ecophysiologie de Poa alpina sur gradients de pollutions métalliques/HAP issus des activités minières passées dans l'Arc alpin' (H/F)
Référence : UMR5553-MURRAV-001
Nombre de Postes : 1
Lieu de travail : GRENOBLE
Date de publication : lundi 28 juillet 2025
Type de contrat : CDD Doctorant
Durée du contrat : 36 mois
Date de début de la thèse : 1 octobre 2025
Quotité de travail : Complet
Rémunération : La rémunération est d'un minimum de 2200,00 € mensuel
Section(s) CN : 29 - Biodiversité, évolution et adaptations biologiques : des macromolécules aux communautés
Description du sujet de thèse
Plasticité des plantes/adaptation à la contamination résultant des activités minières passées dans les Alpes
Contexte de travail
Le LECA (UMR 5553) est internationalement reconnu pour ses recherches en écologie et en adaptation. C'est un laboratoire commun de l'Université de Grenoble-Alpes et du CNRS qui emploie plus de 50 personnes à temps plein. Le LECA offre une expertise en physiologie/biochimie végétale et en biologie moléculaire avec l'utilisation actuelle de l'analyse par séquençage de nouvelle génération (NGS) pour étudier les réponses transcriptomiques (mRNAseq) et l'adaptation (ddRADseq) aux xénobiotiques. Le LECA est également reconnu au niveau international pour ses compétences en génétique et en écologie évolutive. Les scientifiques impliqués dans le projet LandMine ont des compétences complémentaires : M. Raveton (MCF-HC, Coordinateur) est écophysiologiste végétal, F. Boucher (MCF) est écologiste évolutif, S. Reynaud (PR) est spécialisée en tanscriptomique, et des techniciens expérimentés maîtrisent l'histologie, la transcriptomique et les analyses C/N (S. Veyrenc, F. Laporte, C. Arnoldi). Le LECA est chef de file de l'ANR LandMine (soutien financier de la thèse).
Contraintes et risques
Pour explorer la question de la plasticité/adaptation des plantes aux sols contaminés par les activités minières passées dans les Alpes, l'approche scientifique est nécessairement interdisciplinaire afin d'avoir une vision intégrée des mécanismes biologiques impliqués dans les relations entre les organismes et leur environnement. Cela implique nécessairement de travailler en haute altitude (au-dessus de 2100 m d'altitude).