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Doctorant (H/F) en biologie cellulaire et moléculaire

Cette offre est disponible dans les langues suivantes :
- Français-- Anglais

Date Limite Candidature : mardi 19 août 2025 23:59:00 heure de Paris

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Informations générales

Intitulé de l'offre : Doctorant (H/F) en biologie cellulaire et moléculaire
Référence : UMR5261-JULGON-012
Nombre de Postes : 1
Lieu de travail : LYON 08
Date de publication : mardi 29 juillet 2025
Type de contrat : CDD Doctorant
Durée du contrat : 36 mois
Date de début de la thèse : 1 octobre 2025
Quotité de travail : Complet
Rémunération : La rémunération est d'un minimum de 2200,00 € mensuel
Section(s) CN : 22 - Biologie cellulaire, développement, évolution-développement, reproduction

Description du sujet de thèse

Le muscle strié squelettique est un tissu capable de se régénérer complètement après une lésion. Les macrophages jouent un rôle essentiel au cours de ce processus. Après la lésion, des macrophages pro-inflammatoires dérivés de monocytes sanguins infiltrent le tissu lésé, stimulant la prolifération des cellules souches musculaires et phagocytant les cellules mortes par efférocytose. Ceci induit une reprogrammation transcriptionnelle conduisant à leur changement de phénotype en macrophages anti-inflammatoires qui soutiennent la régénération musculaire (1). Dans le contexte des myopathies dégénératives, caractérisées par des blessures répétées et une inflammation chronique, un défaut du changement inflammatoire des macrophages est associé à l’acquisition de propriétés pro-fibrotiques par ces macrophages.
Cette thèse de doctorat a pour objectif d’établir la régulation transcriptionnelle de la résolution de l’inflammation par les macrophages, notamment le(s) mécanisme(s) contrôlant la répression transcriptionnelle du programme pro-inflammatoire et l’activation concomitante du programme anti-inflammatoire. De plus, les réseaux moléculaires dérégulés lors de l’altération de la résolution de l’inflammation associée aux maladies chroniques seront caractérisés, ce qui permettra d’identifier de nouvelles cibles thérapeutiques pour moduler l’inflammation dans les myopathies dégénératives

Contexte de travail

L'équipe étudie les interactions cellulaires impliquées dans l’homéostasie du muscle strié squelettique. Plus particulièrement, nous analysons les rôles des cellules immunes (inflammation), des cellules endothéliales et péri-endothéliales (angiogenèse) et des cellules interstitielles (fibrose) sur le comportement et le devenir des cellules souches myogéniques à la fois au cours de la régénération du muscle sain et dans plusieurs contextes pathologiques (dystrophies musculaires, cachexie).
L’équipe fait partie de l'Institut NeuroMyoGène, qui est un centre de recherche fondamentale et translationnelle focalisé sur le développement et la fonction du système neuromusculaire. Le laboratoire occupe des locaux au sein de la faculté de médecine Rockefeller de l’Université Claude Bernard Lyon 1, sur le campus médical Lyon Est. Nous cherchons un(e) candidat(e) sérieux(se) et motivé(e) avec une formation initiale en biologie cellulaire et/ou moléculaire. Une excellente organisation et rigueur scientifique ainsi que la capacité à travailler en équipe et à communiquer en anglais sont essentielles.
Une parfaite maîtrise des analyses histologiques, cellulaires (Cytométrie, co-cultures), biochimiques (western blot, ELISA) et moléculaires (RT-qPCR, ChIP) est exigée.

Contraintes et risques

Risques biologiques
Risques chimiques
Travail isolé
Astreintes le week-end