Missions

Le candidat (H/F) sera en charge d’étudier les mécanismes de la structuration du ganglion lymphatique et de la rate au sein de l’équipe « interactions physiopathologiques entre le système immunitaire et son microenvironnement » dans l’unité CNRS UPR3572 « Immunologie, Immunopathologie et Chimie Thérapeutique » (I2CT) de l'IBMC.

Activités

À l'appui des projets de recherche dans le laboratoire, le candidat (H/F) analysera des modèles murins par microcopie à fluorescence et par la cytométrie en flux. Le candidat (H/F) assumera également la gestion des souris à l’étude avec les zootechniciens de l’unité. Génotypage par PCR peut être requis.

Compétences

- Le candidat (H/F) doit avoir une bonne expérience de l'imagerie, de la cytométrie en flux et de l’isolation des cellules non hématopoïétiques des organes lymphoïdes.
- Maitriser l’anglais niveau C1 en vertu du Cadre Européen Commun de Référence pour les Langues"; C1 correspondant au niveau autonome.
- Avoir une autonomie et capacité à critiquer/analyser son travail personnel.
- Diplôme requis : Master en immunologie / biologie cellulaire ou équivalent.
- Expérience d’au moins de 6 mois au laboratoire après obtention du diplôme de Master.

Contexte de travail

Ce poste est à pourvoir dans l'équipe du Dr Christopher Mueller "Immune-microenvironment interactions in health and disease" (interactions physiopathologiques entre le système immunitaire et son microenvironnement) du laboratoire CNRS UPR 3572. Le travail sera effectué sous sa direction et comprendra des échanges directs et fréquents avec des membres de l’équipe. L'équipe est actuellement composée d’un directeur de recherche CNRS, le Dr. Vincent Flacher, d’un maître de conférence, le Dr. Benjamin Voisin, 2 chercheurs post-doctoraux, 8 doctorants et 2 étudiants en master.
L’unité UPR 3572 (Laboratoire Immunologie, Immunopathologie et Chimie Thérapeutique) comprend 2 autres équipes, dirigées par Hélène Dumortier et par Alberto Blanco. L’équipe du Dr. Dumortier étudie la maladie autoimmune SLE pendant que le Dr. Bianco s’intéresse aux nanoparticules dans la thérapie biomédicale.
La personne recrutée aura accès à tous les moyens de l’Unité ainsi qu’aux conditions des agents du CNRS en termes de formation, suivi de carrière, et prestations sociales diverses. Les avantages du travail comprennent sa localisation proche du centre ville, un restaurant administratif, des transports en commun proche et ses prises en charge partielle par l'employeur.
L'équipe est bien connectée au niveau international et fait partie du groupe URI et du programme EURIdoc. Elle a de nombreux liens avec le secteur industriel. Le projet est financé pour 6 mois.

Contraintes et risques

Les contraintes du poste peuvent être des horaires décalés et un travail le week-end.