Informations générales
Intitulé de l'offre : CDD Assistant Ingénieur – Biologie moléculaire et cellulaire H/F
Référence : UMR7622-DOMWEI-003
Nombre de Postes : 1
Lieu de travail : PARIS 05
Date de publication : mercredi 18 décembre 2024
Type de contrat : IT en contrat CDD
Durée du contrat : 13 mois
Date d'embauche prévue : 1 février 2025
Quotité de travail : Complet
Rémunération : Entre 2 257,56 € et 3 401,94 €
Niveau d'études souhaité : BAC + 2
Expérience souhaitée : 1 à 4 années
BAP : A - Sciences du vivant, de la terre et de l'environnement
Emploi type : Assistant-e ingénieur-e en biologie, sciences de la vie et de la terre
Missions
Intégrée à une équipe de recherche, la personne recrutée aura pour mission principale d’étudier l’expression d’ARN et de protéines dans des lignées de cellules humaines par des techniques de biologie moléculaire et de microscopie. Elle réalisera également la construction de plasmides pour caractériser leur expression dans ces cellules.
Activités
- Techniques classiques de biologie moléculaire : clonage, purification d’ARN et de protéines, PCR quantitative, Western blotting.
- Techniques classiques de biologie cellulaire : culture de lignées cellulaires, immunofluorescence.
- Technique de FISH sur ARN au niveau de la molécule unique.
Compétences
- Connaissance en biologie moléculaire, culture cellulaire et microscopie en fluorescence.
- Rigueur, autonomie, dynamisme, bonne capacité à travailler en équipe.
- Lecture et compréhension de protocoles et méthodes issus de publications scientifiques
Contexte de travail
La personne recrutée exercera son activité dans l'équipe « mRNP et condensats » dirigée par Dominique Weil, au Laboratoire Développement, Adaptation et Vieillissement (UMR8263, unité mixte CNRS-Inserm-Sorbonne Université) à l'Institut de Biologie Paris Seine (IBPS). Ce laboratoire est situé sur le campus Pierre et Marie Curie de Sorbonne Université.
Le poste est financé par l’ANR dans le cadre d'un projet visant à comprendre le rôle de granules pathologiques composés d’ARN et de protéines dans le développement du syndrome d’Aicardi-Goutières (AGS) causé par une mutation dans le gène ADAR1. L’équipe travaille sur des modèles de cellules humaines en culture. Elle comprend, outre sa responsable, une chercheuse, une enseignante-chercheuse, une ingénieure d’étude, un post-doctorant, un doctorant et une collaboratrice bénévole. La personne recrutée travaillera en étroite collaboration avec l’ingénieure d’étude et le post-doctorant.